Motivations agroécologie et irrigation

Bonjour,

Je suis étudiante agronome et je réalise mon stage de fin d’étude à l’INRAE sur les transitions des systèmes de grandes cultures irrigués en Occitanie. Mon objectif est d’identifier les freins et leviers à la transition, pour, à terme, proposer des pistes d’amélioration des instruments politiques pour faciliter et accélérer la transition.

Je suis à la recherche d’agriculteurs expérimentant des pratiques alternatives (simplification du travail du sol, réduction/arrêt des produits phyto, mise en place de couverts, etc.) qui accepteraient d’échanger avec moi le temps d’un entretien sur leurs motivations et les obstacles qu’ils rencontrent. L’entretien durerait entre 1h30 et 2h et mes questions portent sur des aspects socio-économiques. Je suis flexible concernant les dates d’entretien, je peux m’adapter à vos disponibilités.

Bonne journée !
Audrey

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bonjour
si mon expérience du bio depuis 44 ans, d’une ferme qui tourne sans aucune restitution minérale ni achat d’intrants extérieurs à la ferme vous intéresse, je peux répondre à vos questions.
chez nous on a arrêté le labour depuis 20 ans environ et on n’est pas prêts de recommencer.
nous on souhaiterait une grande politique de stockage de l’eau où les paysans seraient aidés à stocker l’eau de ruissèlement en excès de l’hiver, il faudrait garantir 30000m3 de stockage à chaque ferme pour garantir aux jeunes installés une protection contre les sécheresses estivales, actuellement on est racketté par les bureaux d’études dés qu’on veut dépasser 1000m2 miroir.
pour les petits projets il arrive que le bureau d’étude coute plus cher que la pelle mécanique qui fait le boulot, faut arrêter les absurdités administratives…

Bonjour,

Merci pour votre réponse. Effectivement votre profil m’intéresse ! VVous pouvez m’appeler lorsque vous êtes disponible pour que l’on convienne d’un moment pour l’entretien.

Bonne journée,
Audrey

il semble que le problème, même si on est occitans c’est de ne pas habiter en Occitanie enfin dans la région qu’ils ont appelé comme ça sans tenir compte de l’emprise géographique de la langue ni des réalités historiques.
mais bon, les petits jeunes étudiants font ce qu’on leur dit et c’est vrai qu’on est « un peu » loin de Montpelier… tant pis.